Musique
Dans les coulisses de l’industrie, la nécessité d’un attaché de presse musique
Derrière les artistes et leur communication se dissimule la nécessité d’une équipe professionnelle. La Dooweet Agency espère mettre en avant le rôle d’un attaché de presse dans la musique urbaine notamment par les réseaux sociaux.
Si Grant Glickman reconnaissait que «derrière chaque grand homme se cache une femme», l’industrie musicale pourrait aisément prolonger l’analogie, et assurer que derrière chaque grand artiste se cache un attaché de presse. Car il y a le talent, et la manière de le mettre en lumière.
Et à l’heure de la démocratisation de la communication, notamment dans le milieu de la musique urbaine, la manière de gérer sa promotion constitue un enjeu fondamental pour un jeune artiste, notamment dans la musique urbaine. Ça, c’est le rôle de professionnels, comme les attachés de presse musique de la Dooweet Agency, une agence chargée d’accompagner les artistes dans leurs relations publics (RP) et avec les médias. Plus simplement : soigner sa stratégie de communication musicale.
L’attaché de presse musique à l’heure des réseaux sociaux
«Pour un groupe, un chanteur, un musicien ou autre professionnel de la musique, s’entourer d’un attaché de presse musique permet d’être accompagné par un spécialiste, qui dispose d’un réseau et qui connaît toutes les ficelles de ce métier», précise l’agence. Pour ce faire, elle met en perspective plusieurs services tout en s’adaptant aux nouveaux modes de communication.
Consciente que le métier de RP est en constante mouvance, l’agence a su s’adapter à l’évolution, pour proposer une communication adéquate à chaque artiste. «La promotion d’un artiste, et de manière plus générale de la musique, ne se limite plus aux médias traditionnels – radio et télé par exemple – et à l’envoi de communiqués», reprend la Dooweet Agency.
Et dans le monde de la musique urbaine, par exemple, les réseaux sociaux représentent un socle impérial. Mais si les rapides progressions de jeunes rappeurs peuvent rassurer, elles renferment surtout un investissement quotidien et au long terme. Le public étant pour la plupart jeune et à l’aise avec les codes des réseaux sociaux, il est important d’articuler autour d’eux une stratégie commerciale efficace.
La Dooweet Agency séduit la musique urbaine
En l’espace de quelques années, la musique urbaine a dressé au même niveau la communication et la valeur artistique. Dans un milieu ultra-concurrentiel, le talent n’est même plus le seul vecteur de réussite. En tout cas, pas lorsqu’on s’avère incapable de lui proposer de la visibilité. Désormais, chaque promotion de projets se joint à une série d’interviews pertinente, à une esthétique sur les réseaux sociaux et à de la scène évidemment. Et ce cocktail là se cuisine avec deux éléments : l’expérience et le carnet d’adresses.
La Dooweet Agency couvre de nombreux artistes urbains, de 2TH à Arcani , en passant par Ørigami. Tous ont pu profiter d’actions adaptées à leur univers, afin de «préserver leur authenticité», témoigne l’agence. Car l’objectif n’est pas de sacrifier la valeur artistique d’un projet sur l’autel de la communication, mais bien d’allier les deux éléments. Avec professionnalisme, et surtout passion. «Lorsque nous travaillons sur un projet, nous allons jusqu’au bout», conclut l’agence.