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Squeezie répond aux critiques sur ses vidéos

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Squeezie critiques

Après avoir cristallisé certaines critiques à cause de sa dernière vidéo, Squeezie s’est confié sur son rapport à la critique.

 

Cette semaine, Squeezie a publié une vidéo en compagnie de Maxenss et Joyca, hébergeant un nouveau concept. Et les retours ont plus que disparates que dernièrement, beaucoup reprochant la qualité moindre de ce nouveau format. Forcément cela a suscité quelques interrogations quant au futur de la chaîne de Squeezie et de vidéos plus classiques. En live cette semaine sur Twitch, Squeezie s’est montré très clair après un commentaire lui réclamant des vidéos seul et face-caméra.

«Je continuerais évidemment les vidéos face-cam et les lives parce que j’ai besoin évidemment d’être aussi seul et de faire du contenu plus tranquille, détente, sans pression… Et aussi parler à la caméra. C’est comme ça que j’ai commencé sur YouTube donc je continuerai évidemment» a tranquillement expliqué Squeezie, rajoutant même que la prochaine vidéo serait l’occasion de revenir à un format où il raconte des histoires.

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Squeezie : «Il y a toujours un pourcentage de gens qui ne seront jamais contents»

Puis, concernant les critiques dont sa nouvelle vidéo a été la cible, Squeezie a avoué ne plus y faire attention : «À partir du moment ou j’ai vu qu’il y a toujours une partie très petite des gens qui se plaignent quoi qu’il arrive. J’ai compris que cette partie je l’écoutais beaucoup trop, explique t-il. Elle avait beaucoup trop d’impact sur mes choix. Là je crois que je m’en bats les couilles». Clair et concis.

Malgré sa position tranchée, Squeezie a quand même donné plus de matière à ses propos : «En fait on est aussi dépendants de l’humeur des gens, des guests, du concept, d’un truc magique qui peut se passer ou pas lors d’un tournage donc forcément la qualité des vidéos n’est jamais la même, explique t-il. Tu sais que c’est très dur de faire à chaque vidéo, surtout quand on publie aussi fréquemment, un truc qui procure les mêmes émotions. Genre de faire à chaque fois un truc qui va te faire rire à haute voix, ou même te faire souffler du nez systématiquement. C’est dur».

Puis de conclure : «Il y a toujours un pourcentage de gens qui ne seront jamais contents et il faut juste réussir à ce que ça n’ait pas d’impact sur toi, ce que t’as envie de faire, en tant que créateur. Et je pense que c’est le challenge de tous les créateurs de contenus globalement».

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