Musique
Comparés, Moha La Squale et Hatik répondent
Perpétuellement comparés sur les réseaux sociaux depuis la sortie de Validé, Moha La Squale et Hatik se sont respectivement envoyés du respect sur Twitter.
C’est un peu le running gag depuis la sortie de Validé. Après l’explosion de Hatik, propulsé parmi les nouvelles têtes à suivre de la scène francophone, les internautes se sont amusés à comparer l’artiste avec Moha La Squale. Outre leur ressemblance physique, marquée notamment par leurs longs cheveux, c’est aussi leur amour respectif pour leur jeu d’acteur qui ressort.
Et en effet, bien que les deux artistes ne soient pas si proches musicalement, on doit bien avouer qu’une ressemblance existe. Un tweet, cumulant près de 10k mentions likes, s’en est d’ailleurs amusé, instaurant une certaine confrontation entre Moha La Squale et Hatik : «Moha fait les cours Florent tout ça pour que son double maléfique qui n’a jamais pris de cours fasse du cinéma avant lui pour un rôle qu’il aurait pu faire».
Hatik c’est le doppelgänger de Moha la squale. Moha il croit vivre dans un vilain cauchemar c’est sur. Il fait les cours Florent tout ça pour que son double maléfique qui n’a jamais pris de cours fasse du cinéma avant lui pour un rôle qu’il aurait pu faire ça me fume
— boy wonder (@Naickenh) March 29, 2020
Hatik : «Much love sur Moha»
De leur côté, les deux artistes refusent de laisser grimper une animosité née de l’esprit des fans. Toujours sur Twitter, Hatik a sobrement commenté : «Much love sur Moha. Vous arriverez pas à diviser les gens». Moha La Squale a ensuite relayé le message, avec un poing fermé et un coeur.
Much love sur Moha.
Vous arriverez pas à diviser les gens.
— 3atik (@HatikMusic) March 31, 2020
Surtout, comme l’indiquent certains internautes, Franck Gastambide souhaitait mettre en tête d’affiche un rappeur moins notoire, pour que les fans s’identifient plus au personnage qu’au rappeur lui-même. Ce qui explique pourquoi un artiste comme Moha La Squale, déjà disque de platine, ne puisse pas prétendre au rôle.
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