Gotaga se souvient de la première sponso de Diablox9 : «Il s’est fait déchirer»

À l’occasion de l’émission Open World, Gotaga, Doigby, Sofyan et Seb ont discuté autour de la sponsorisation, se souvenant de l’exemple douloureux de Diablox9. 

Si les sponsorisations sur YouTube et Twitch sont devenues monnaie courante, certains ont dû essuyer de lourds échecs à une époque qui les voyait d’un bien vilain oeil. Parmi eux, Diablox9, qui s’est associé à Battlefield et qui a subi de nombreuses critiques de sa communauté et même de ses confrères. «Dans notre game, le premier qui a fait ça, c’était Diablox9, se souvient Gotaga lors de l’émission Open World. Il s’est fait déchirer. Alors que, pourtant, la première opé qu’il a fait c’était Battlefield, un jeu auquel il jouait tout le temps». Et d’ajouter : «Que ce soit par les viewers, ses collègues YouTubeurs, tout le monde l’a déchiré».

Gotaga : «Les gens ne se rendent pas compte du prix qu’il y a derrière»

Une mentalité qui a eu besoin d’évoluer au fil des années parmi les vidéastes eux-mêmes. «Avant, je n’étais juste pas très à l’aise d’imposer aux gens tout le temps du sponsoring, confie Seb. Parce que c’était l’époque, c’était moins accepté aussi». Désormais, la plupart de ses vidéos s’accompagne d’une sponsorisation, qui lui permettent de financer son équipe explique-t-il. Gotaga précise également que les rémunérations récupérées sur une vidéo servent généralement à financer des projets qui prendront forme plus tard.

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«Par exemple, la vidéo qu’on a fait avec Squeezie (ndlr. « On affronte les plus grandes peurs de l’humanité »), je suis choqué du budget qu’il y a derrière, ajoute Gotaga. Il n’y a aucune #ad derrière. Ce sont les trucs qu’il fait avant, au préalable, sur sa chaîne secondaire, qui font qu’il paye ça. Mais les gens ne se rendent pas compte du prix qu’il y a derrière ce genre de vidéo». Une manière d’expliquer en transparence comment financer des projets plus ambitieux, et surtout, comment certains vidéastes qui ont connu plusieurs générations de YouTube ont appris à être à l’aise avec la sponsorisation.

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