Musique
Hatik : «J’avais un nom avant Validé, j’aurai un nom après Validé»
Sur ses réseaux sociaux, Hatik est revenu sur son parcours, pour justifier le nouveau statut qu’il est en train de conquérir dans la scène rap française.
Hatik avait des choses à dire. Et c’est dans un message mêlant motivation et réponses aux détracteurs, qu’il voit enfin le bout du tunnel. L’artiste, devenu depuis quelques mois un nouveau phénomène de la scène rap française, et même au-delà, en témoigne le succès de son tube « Angela » déjà single de diamant, s’est félicité de ses sacrifices pour enfin atteindre une sphère qu’il a longtemps miroitée. «À 18 ans, je lâchais des milliers d’euros en studio, du matos ou des featurings US que je rêvais de faire», raconte-t-il dans un message repéré par Mouv.
— 3atik (@HatikMusic) August 1, 2020
Hatik : «J’ai jamais rien demandé à aucun grand pour réussir»
Il retrace ensuite les différentes échéances de sa vie, précisant avoir accumulé les petits emplois en plus de ses cours, de 18 à 26 ans, pour pouvoir vivre et continuer d’animer son rêve. «J’ai jamais rien demandé à aucun grand pour réussir. AUCUN», poursuit-il avant de lâcher : «Je faisais du son et j’avais un nom avant Validé. Je ferais du son et j’aurai un nom après Validé». Une manière de charger ceux qui justifient la notoriété de l’artiste par le seul canal de la série.
Et en effet, si l’artiste était en pleine construction de son univers avant la sortie de la série événement de Canal+, avec notamment sa première mixtape Chaise pliante à l’été 2019, difficile de ne pas reconnaître que Validé a précipitamment accéléré les choses. Hatik s’est retrouvé protagoniste d’un furieux succès populaire, regardé par plusieurs dizaines de millions de personnes. De quoi, évidemment, le propulser plus vite que prévu au sommet du rap français, étant écouté, sur Spotify, par 3,2 millions d’utilisateurs par mois. Précisant partir pour la première fois de sa vie en vacances, l’artiste avoue : «En attendant, personne ne mangera mon pain sauf si je décide d’en donner, et ça, ça se mérite». Les points sur les « i ».
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