Jok’air sort Aquarium, avant-goût complètement fucked up de Jok’Rambo

Jok’air nous balance Aquarium, un clip de 3:39 min qui nous transporte dans un univers aussi barré qu’incroyable. Avant-goût prometteur de Jok’Rambo  qui sort le 25 mai prochain. 

Le clip s’ouvre sur Jok’air, en charge pour la journée de ses trois nièces en « survets Adidas ». Il ne peut pour autant s’empêcher de rouler une batte, et de tirer quelques lattes dessus. Il bascule alors dans une autre réalité, aussi fantasmagorique qu’effrayante.

Un visuel entre réalité, rêve et cauchemar

Un aquarium géant dans lequel il fini par nager, Alkapote qui fume son joint à côté d’Ariel, ses nièces qui jouent en riant aux éclats, le lapin d’Alice au pays des Merveilles qui back derrière lui … On vous laisse imaginer à quel point tout ça, combiné à des scènes encore plus déroutantes, donne à ce clip une atmosphère unique. Libératrice et oppressante, Jok’air nous dessine un monde malsain dans lequel on se laisserait pourtant bien entraîner.

Un aquarium au passé

Votre oreille a-t-elle aussi titillé lors du premier refrain « d »Aquarium » ? Pas de panique, médicalement parlant, tout va bien. Vous avez sûrement reconnu les paroles de « Ma substance » du groupe MZ, séparé fin décembre 2016. Une jolie référence à son ancien crew, qui colle particulièrement bien au morceau.

« Elle roulait ses bédos debout, c’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup »

Une autre des références les plus évidentes du morceau est celle faites à France Gall, où il reprend presque mot pour mot les paroles d »Il jouait du piano debout ». On comprend mieux sa photo Instagram d’il y a 2 jours, où il arborait un Tshirt imprimé du visage de la belle blonde avec en commentaire » PS : France Gall je t’aime très fort ». Jok’air nous  balance donc un avant-goût complètement perché de son prochain projet Jok’Rambo, où les dessins animés rencontrent la variété Française, une prod complètement phasante et des références à son passé dans le rap. Même pas besoin d’une batte comme la sienne pour planer aussi fort, on dit merci.