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Marvel légalise la weed : ça veut dire quoi au juste ?

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Marvel légalise la weed : ça veut dire quoi au juste ?

Dans le dernier numéro de Daredevil, Marvel a légalisé la weed à travers le personnage de Wilson Fisk. Ça paraît nul, mais c’est intéressant.

Il s’appelle Wilson Fisk, aussi surnommé le Caïd. Vous savez, un grand, chauve, assez baraque et toujours bien sappé. Et bien désormais, il est maire de New York, en tout cas en ce qui concerne les comics et l’univers Marvel . Toutefois, lors du dernier numéro de Daredevil, le néo-pensionnaire de la mairie de NYC a évoqué un sujet du moment : la légalisation de la weed. Et derrière ce qui semble être une malicieuse manière de coller à l’actu se cache une intéressante position.

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On vous fait la scène vite fait : Wilson Fisk et son regard ultra sombre prend la parole à une table autour de laquelle se trouve l’élite de la ville. Brièvement, il évoque sa décision d’avoir légalisé la weed dans la Grande pomme. Mais ici, le maire pense business. «J’ai la terre pour faire pousser. J’ai les meilleures personnes au monde pour la cultiver, souffle-t-il. Le plus grand obstacle a été de s’assurer que les règles pour l’autorisation de vente soient en ma faveur et en faveur de personne d’autre.» Une manière de faire également sortir ses sbires de prison, derrière les barreaux pour possession de cannabis.

Alors, Marvel, pour ou contre ?

Bref, ça devient intéressant lorsque le parallèle avec l’actualité est réalisé : en août dernier, New York a réellement pris de mesures d’assouplissement en ce qui concerne le cannabis. Grosso-modo, l’état a décidé d’effacer les condamnations de délits mineurs liés au cannabis, évitant aux possesseurs de repartir avec une trace sur leur casier judiciaire. Cette décision s’inscrit dans un mouvement à l’échelle internationale qui cherche à être un peu moins dure avec la drogue douce.

Si la prise de position de Marvel peut sembler forte, dans l’idée d’une dépénalisation, elle met également en avant le côté obscur de la force : que celle-ci peut profiter à certains trafiquants. Et également à plusieurs criminels, qui n’en seraient finalement plus, aux yeux de la loi (malgré une amende pouvant gonfler jusqu’à 200 dollars) .

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