Orelsan dévoile son parfum à l’odeur de l’essence

Orelsan a dévoilé une flagrance inspirée de son dernier album Civilisation et de son single « L’odeur de l’essence ». Il sera disponible en ligne et sur sa tournée. 

L’odeur de l’essence, la vraie. Orelsan a annoncé ce vendredi la sortie d’un parfum inspiré de son single « L’odeur de l’essence », extrait de son dernier projet Civilisation. Entièrement noir, et gravé du shuriken qui sert la promotion de son album, le flacon contient des «notes fumées et des accords de bois de santal», révèle le communiqué, pour contenir l’arôme «si expressif» qui parfume l’essence. Conçu en partenariat avec une entreprise caennaise, la flagrance promet un caractère «amer» et «métallique», formant ainsi un parfum authentique, cher à l’identité du morceau.

Aussi : Orelsan : Gringe explique enfin l’histoire de sa punchline nulle

Orelsan : d’autres produits dérivés de Civilisation ?

Le parfum est disponible à la vente via deux moyens. D’abord, sur le store officiel de l’artiste : 5.000 exemplaires limités ont été conçus, répartis en 15 packs différents, contenant également une version physique du projet Civilisation. Puis, ils seront également disposés dans les divers stands qui accompagnent la tournée de l’artiste à travers la France. Avec cette stratégie commercialement finement réfléchie, Orelsan espère certainement gonfler les ventes de son dernier projet, qui s’approche peu à peu des 500.000. ventes, synonymes de disque de diamant.

Le communiqué ne précise pas si d’autres produits dérivés seront créés à l’effigie d’autres morceaux de Civilisation. Culminant encore dans le top 10 des ventes hebdomadaires, le projet d’Orelsan ne perd pas son élan. Reste à savoir si son public sera réceptif à cette initiative finalement plutôt cocasse.

Évidemment, cet article n’est qu’un pur poisson d’avril. La photo d’illustration est issue d’un shooting promotionnel pour la marque Project X et le montage a été réalisée par l’équipe Interlude. Après tout : «Si c’est marqué sur internet, c’est p’t-être faux mais c’est p’t-être vrai».

Aussi : Orelsan se confie sur le morceau le plus difficile à écrire de “Civilisation”