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Musique

Paigey Cakey, la britannique plagiée par SCH finalement en featuring avec Lacrim

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Paigey Cakey, la britannique plagiée par SCH finalement en featuring avec Lacrim

Méconnue dans l’Hexagone il y a encore quelques mois, la rappeur anglaise perce doucement sa bulle avec un destin particulier.

C’était il y a seulement quelques mois. Alors que Lacrim et SCH se retrouvent sur l’opus Deo Favente avec le morceau « Ça va », une malheureuse théorie se répand sur la toile. En effet, un internaute tweet un message à Paigey Caket, une artiste britannique, qui va faire grand bruit : « Ce rappeur français a copié ta chanson ». Hystérique, la rappeuse retweet et initie alors une polémique qui va parcourir des milliers d’internautes.

En effet, à l’écoute du duo français, confronté au morceau « Down » de Paigey, la ressemblance est crispante. Flow, beat, sonorités : tout y est, et la chanteuse se répète « C’est quoi ce bordel ? ». Mais alors que l’affaire, énième histoire de plagiat artistique qui démontre la cruauté du business, ne souhaite sûrement pas se retrouver dans un tribunal, un compromis à l’amiable semble être trouvé. En tout cas, le silence fracassant qui planait au-dessus de la polémique depuis plusieurs mois s’est soldé par une collaboration sur le dernier projet de Lacrim.

Une solution en privé ?

Si la chanteuse a semblé si énervée à l’écoute du morceau, elle s’est aussi rendue compte très vite que sa faible notoriété ne ferait pas le poids face aux millions de vues du tandem français. En tout cas, ni SCH, ni Lacrim n’a évoqué le malentendu. C’est ainsi qu’un accord secret entre les artistes a dû être trouvé. Aussi, la rancœur de Paigey a dû être, de plus, atténué après la naissance de sa né-popularité en France. Elle explique dans Shoes Up :

« La bonne chose dans tout ça et la raison pour laquelle je ne suis pas fâchée, c’est que c’est un rappeur tellement connu qu’il m’a indirectement fait connaître. Avant, personne ne savait vraiment qui j’étais et juste parce qu’il a fait ça, les gens m’écoutent. C’est ma troisième date à Paris en 3 mois, mes vues et mes ventes augmentent, donc merci à lui ! »

Tout est bien, qui finit bien.

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