Musique
Super Bowl : The Weeknd a payé de sa poche une performance spectaculaire
Programmé à la mi-temps du Super Bowl, The Weeknd a réussi une performance futuriste époustouflante, aux moyens financiers faramineux.
Un instant, The Weeknd nous aura presque fait oublier la pandémie et toutes les mesures sanitaires étouffantes qui l’entourent depuis plus d’un an. L’artiste canadien, invité à animer la mi-temps du Super Bowl, a, au rythme de shows pyrotechniques et de décors virevoltants, proposé une performance géniale. Il a d’abord débarqué dans une ambiance hollywoodienne pour interpréter son titre « Starboy », avant de savourer l’esthétique de son dernier opus After Hours.
À découvrir également : Ateyaba sort un nouveau clip… avec cinq ans de retard
The Weeknd : futuriste et démesuré
On retrouve un sens très cinématique dans l’architecture du show, avec également de nombreux figurants, bandés, à l’image du personnage qu’il a construit lors de sa promotion. Enchaînant les tubes au détour de plusieurs tableaux qui profitent du superbe théâtre qu’offre le Raymond James Stadium, à Tempa, il a conclu son live nerveux et explosif en beauté sur un feu d’artifices époustouflant.
Dans des conditions forcément particulières, The Weeknd a réussi avec les honneurs à faire de son half-time show un rendez-vous mémorable. D’ailleurs, l’artiste s’en est donné les moyens : comme l’ont précisé plusieurs sources américaines, l’auteur de « Blinding Lights » a ajouté près de 7 millions de dollars de sa poche, en plus de l’enveloppe de 10 millions habituellement déboursée. Une somme colossale qui lui a permis, certainement, d’envisager l’intégralité du show qu’il espérait.
Démesurée et épatante, sa performance offre un avant-goût sulfureux des capacités de l’artiste sur scène, alors qu’il vient de dévoiler une longue liste de dates lors d’une tournée internationale qui passera d’ailleurs par la France à l’automne 2022 à Paris, mais également Lyon, Bordeaux et Montpellier.
Dans le reste de l’actualité, Eminem et sa pub lors du Super Bowl, la plus chère de l’histoire