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Musique

Booba a payé un feat à 300.000$ ? Il répond

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Booba répond à l'appel du Sénat pour débattre la loi sur les influenceurs : «Je n'irai pas»
© Puma

Booba a démenti la rumeur selon laquelle il se serait adressé à Rema pour une collaboration, facturée 300 000 euros par l’artiste nigérian.

Le bruit s’est répandu à la vitesse de la lumière : c’est souvent comme ça avec les réseaux sociaux. Booba aurait proposé à Rema de collaborer sur un morceau. Et celui-ci lui aurait coûté pas moins de 300 000 euros. Relayée par un site d’informations en ligne, l’information serait selon lui tirée d’une interview du Duc. Une interview qui, semble-t-il, n’a jamais existé, puisque Booba en personne a affirmé que cette histoire était intégralement fausse.

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Déjà en guerre, et depuis maintenant un certain temps, contre les médias en ligne et leurs travers éditoriaux, le rappeur a partagé une capture d’écran de la rumeur accompagnée de la légende : «FAKE NEWS». Sur différents médias, sites ou réseaux sociaux, la même phrase de Booba tirée d’une fameuse “interview” était relayée sans contexte. L’auteur d’ULTRA a définitivement mis un terme à la rumeur.

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Booba et Re

Aussi, celui qui a entamé une guerre contre les influenceurs n’est plus vraiment du genre à dépenser de gros chèques pour s’octroyer des featurings. En 2017, pour la promotion de Trône, il s’était par ailleurs exprimé sur les cachets réclamés par les artistes internationaux pour une collaboration. «Ça coûte cher, t’as pas forcément le meilleur de ce qu’ils sont capables de faire, ça prend du temps et puis les Américains ils appellent pas de Français dans leurs albums !», soufflait-il sur OKLM Radio.

Booba, qui a récemment interpellé Christine and the Queens sur ses réseaux sociaux, s’était même renseigné auprès de Rihanna pour une présence sur un feat, avant finalement de renoncer face à la somme réclamée par la chanteuse. En ce qui concerne Rema, la donne est évidemment différente : l’artiste est nigérian, et le rappeur a à coeur de mettre en lumière la scène africaine. D’ailleurs, certains de ses confrères se sont récemment pliés à des initiatives internationales, comme Jul ou Ninho sur leurs albums respectifs. Et avec un certain succès.

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