Culture
La beauté contrastée d’un monde confiné illustré par les photos du New York Times
Dans un somptueux reportage photo, le New-York Times met en exergue la beauté contrastée de nombreux lieux de vie désormais déserts.
Dimanche, la barre des 2000 décès liés au coronavirus a été franchie en Europe. Le bilan mondial s’élève à 6420 morts. A travers le monde, les mesures gouvernementales exceptionnelles d’urgence sanitaire se multiplient : fermeture des écoles, des bars, des restaurants, confinement et fermeture de frontières. Ce mardi 24 mars, nous sommes 1, 7 milliards d’humains confinés.
New-York, Paris, Rome, Madrid, Los Angeles, Moscou, Londres, Sydney, tant de haut lieux de vie, d’économie et de rassemblement festif, sont désormais réduit au silence et à la beauté paradoxale du vide. Immortalisées par une série de photographie dédiée au New-York Times, ces villes devenues désertes sont d’une esthétique époustouflante.
Ces clichés illustrent des paysages désert, d’une beauté complexe : immense tristesse et fierté internationale se cachent derrière ses œuvres d’art. S’il est absolument glaçant de découvrir Times Square, la place de la Concorde ou encore l’Opéra de Sydney à nu, ces images sont également là pour nous rappeler, qu’ensemble, nous pouvons de grandes choses.
Paris : La place de la Concorde un 18 mars
Tokyo : « Quand le monde arrête de voyager »
©️ Noriko Hayashi for The New York Times
Londres : « C’est à cela que ressemble l’heure de pointe dans une grande métropole »
New-York : « Un grand centre de transit, l’Oculus, dans une ville qui n’est plus en mouvement »
Munich : « Un métro sans usager »
Los Angeles : « Un océan immuable, une plage à peine reconnaissable à Santa Monica »
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