Musique
L’Algérino a été surpris par SCH : «Il n’a pas peur de prendre des risques»
L’Algérino s’est confié sur la création du morceau « Sapapaya », en collaboration avec Jul et SCH, précisant qu’il s’était étonné de voir l’auteur de JVLIVS II aussi à l’aise sur de la funk.
«Il m’a dit : « Viens on fait autre chose »». Alors qu’ils cartonnent encore dans les charts, avec « Mother Fuck » ou « Bande organisée », et plus récemment « Mode Akimbo », SCH et Jul ont été invités une nouvelle fois par L’Algérino. Mais comme il l’a confié auprès de Mehdi Maïzi dans Le Code, ce dernier a raconté que SCH avait envie de nouveauté. Il a d’abord apprécié le titre « Tout ce qu’il fallait… », une ballade entraînante, avant de proposer à son compère de prendre des risques.
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L’Algérino sur SCH : «J’étais choqué»
«J’ai aimé la démarche, reprend L’Algérino. Je me suis dit : « Il n’a pas peur de prendre des risques ». Je lui ai dit : « Frérot, t’es chaud pour un morceau funk, un peu à l’ancienne ? ». Et il m’a dit : « Allez », j’étais choqué». À partir de là, le trio a imaginé les grandes lignes de ce qui deviendra « Sapapaya ». Une production signée Skalpovich, qui sent bon les années 2000, avec ses airs funks et son ambiance entêtante.
L’Algérino poursuit en avouant qu’il a trouvé SCH particulièrement à l’aise sur l’instrumentale. «Je vois SCH rentrer en cabine, je le vois poser. Je me dis : « Là, il se passe un truc ». J’ai eu cette nostalgie d’avoir l’impression d’écouter du 113. Je me suis dit : « Là, c’est chaud »». Même si, L’Algérino a avoué avoir eu quelques appréhensions lors des premières heures qui ont suivi la publication du titre, il se félicite du succès de « Sapapaya ». Le morceau est le plus écouté de son album, avec un clip cumulant 15 millions de vues sur YouTube.
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