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Musique

Lorenzo fout le bordel à Disneyland Paris

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Grâce à Check, les fabuleuses aventures de Lorenzo et du poto Rico se poursuivent et s’arrêtent à Disneyland pour quelques heures ponctuées de révélations. 

Inviter Lorenzo et le poto Rico pour une journée forte en émotions et en pilons à Disneyland Paris ? Et pourquoi pas. Après avoir fait chou blanc dans leur quête d’une weed qui guérit du sida (le trésor de Mike Douglas reste bien gardé), le duo le plus allumé du rap français a bien mérité un peu de vacances. Alors, tout frais payés par Check, il était apparemment grand temps d’admirer Lolo planer sur le dos de Dumbo, et Rico manquer de régurgiter après quelques tours en tasses. Ou en résumé : Lorenzo fait du sale à Disneyland.

« Pourquoi « Sex in the city » ? »

Entre l’effritage au cœur du labyrinthe qui n’aurait pas tant déplu à Lewis Caroll, et un détour par la fameuse « maison de la fantômerie » , le journalise Martin Vachiery réussit toute de même à tirer quelques vers du nez de Lolo. Un Lorenzo tantôt poète qui aime à rêver d’une France épicurienne et a « la flemme » du rap conscient. Puis un Lorenzo tantôt athlétique qui aimerait inventer un nouveau sport, ainsi que rejoindre le Guinness Book.

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Mais surtout, un Lorenzo qui dévoile le pourquoi du comment de ce titre torride de son dernier album Sex in the city : « c’est un peu comme une douille ». Tout n’aurait été qu’une question de référencement sur Spotify, un titre anglais d’un rappeur français avec un nom hispanique afin de percer à l’échelle de « toute la planète du globe ». Lolo le marketing ça le connait.

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