Zola revient sur ses propos polémique sur la “rage” : «Les gens m’ont attrapé la veste»

Zola est revenu sur un extrait d’une interview où il parle de la rage. Une séquence qui avait provoqué de nombreuses réactions. 

Sa phrase avait fait couler beaucoup d’encre sur les réseaux sociaux. Pour la promotion de DIAMANT DU BLED, Zola avait discuté avec Narjes de son dernier projet pour Deezer. Le rappeur avait alors précisé à son interlocutrice qu’il aimerait devenir l’un des «précurseurs» de la rage en France. Des propos critiqués par certains fans, voire même d’autres artistes, qui estiment que le style musical est déjà bien implanté dans l’hexagone.

«Les gens m’ont attrapé la veste, sourit-il lors d’un entretien pour Views. Apparemment, le mouvement existe déjà en France. Il y a déjà des mecs qui font ça, des geeks que je ne connais pas du tout. Moi j’ai dit que je voulais être le précurseur et c’est un grand mot, ça veut dire que c’est vraiment toi qui ramène le truc. Et quand ces mecs là ont entendu ça, ils pensaient que je voulais m’auto-proclamer avant-gardiste, ils n’étaient pas contents : “Ouais on fait ça depuis longtemps, il vient nous voler le truc”». 

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Zola : «Toute l’année je ne regarde pas ce qu’on dit de moi»

La rage est un sous-genre de la trap, avec l’omniprésence de synthétiseur, qui emprunte des influences à l’EDM et la Future bass, des genres électroniques. Particulièrement populaire aux États-Unis, avec Playboi Carti, Lil Uzi Vert ou encore Trippie Redd, le style a été adopté par Zola sur son dernier projet notamment avec le titre “FINISH HIM” en collaboration avec Ateyaba, bien que d’autres artistes, peut-être moins notoires, s’y soient déjà essayés, comme Realo, Bu$hi ou encore Serane.

Des critiques qui n’ont pas spécialement touchées Zola. «De toute façon, toute l’année je ne regarde pas ce qu’on dit de moi, poursuit-il. C’est juste quand j’ai sorti l’album, j’ai voulu voir ce qui se disait. Autrement, je suis vachement déconnecté de tout ça et c’est notamment pour ça qu’il y a plein de questions que tu me poses auxquelles je n’ai pas de réponse». Dans le reste de l’actualité, Zola ne croyait pas en ce morceau : «La veille du clip je ne voulais plus le faire».

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