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Audrey réagit après la vidéo de Squeezie : «J’ai reçu des insultes hardcores»

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Audrey, ciblée sur les réseaux sociaux, s’est confiée après la dernière vidéo de Squeezie, donnant sa version des faits. 

Elle a été, malgré elle, la protagoniste YouTube de la semaine. Audrey, vieweuse “modèle” présente dans la dernière vidéo de Squeezie qui met en scène un tribunal des bannis dans la vraie vie, a été violemment prise à partie sur les réseaux sociaux. En cause : ses interventions jugées trop nombreuses et premier degré. Des critiques qu’elle a évoquées lors d’un entretien avec le streamer BotKZ.

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«Il y a un manque de compréhension de fou de ce qu’il s’est passé, commence-t-elle. On me reproche d’avoir été trop premier degré et d’être aigrie, mais tous les gens qui ont participé au bashing, c’est des gens qui sont archi premier degré et qui sont aigris. Du coup, je ne peux que sourire à ces gens là. On est dans une vidéo, il y a du contenu, des rôles à tenir. Moi j’ai tenu mon rôle, je suis en role-play “procureur, juriste, tribunal”».

En outre, la jeune femme a pris son rôle à coeur, aussi parce que la production a sondé en amont quels viewers se sentaient prêts à intervenir. «J’ai eu des gens de la prod qui m’ont demandé si j’étais OK pour faire partie des gens qui prenaient la parole, raconte Audrey. Il faut savoir qu’il y a plein de gens qui ont répondu qu’ils n’étaient pas trop chauds, ce que je comprends aussi, c’est compliqué de prendre la parole comme ça dans une vidéo qui va faire des millions de vues».

Elle a d’ailleurs désamorcé ce “role-play” lors de sa première intervention, une partie qui n’aurait pas été conservée : «Le truc majeur qu’il n’y a pas dans la vidéo, la première fois que l’on me donne la parole, c’est la blague : justement, je vais me mettre en RP tribunal, parce que c’est le but de la vidéo».

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Audrey : «Les gens ont le droit de donner leur avis»

Vivement prise à partie dès la publication du contenu, Audrey a rapidement reçu un coup de fil de la production. «La prod m’a appelé : “On a vu ce qu’il s’est passé, est-ce que ça va bien ? Est-ce que tu as besoin d’un soutien ? Si tu as besoin de quoique ce soit tu nous dis”. Ça m’a fait grave plaisir». Elle a également reçu à plusieurs reprises le soutien de Squeezie, qui a d’abord défendu sa vieweuse sur Twitter, puis lors d’un live, dénonçant les comportements toxiques de certains internautes.

De son côté, Audrey comprend certaines critiques. «Les gens ont le droit de donner leur avis, poursuit-elle. Parce que y’a plein de gens qui étaient là : “Mais comment ça ? Aujourd’hui tu ne peux pas dire que tu n’aimes pas quelqu’un ou que tu n’as pas aimé !”. Moi, personnellement, je n’ai absolument aucun problème. C’est-à-dire que quand je lisais des tweets, dès que c’était “casse les c*uilles” j’étais en mode : d’accord, oui, tu as le droit. Moi ce qui va me gêner, c’est dès que ça part sur le physique, quand ça part sur de l’incitation à la violence, quand ça part sur des insultes hardcore».

Elle a même fait l’objet d’un montage sur Twitter compilant toutes ses interventions dans le but de la desservir. Sur les réseaux sociaux, ses passages, et globalement toute la polémique qui en a découlé, ont cumulé des millions de vues. Squeezie lui-même s’est senti coupable de cet acharnement : «Merci d’être venue dans la vidéo, merci pour tes interventions qui étaient très justes, et f*ck les gens qui t’ont harcelé sur les réseaux. Et je suis désolé, car j’ai ma part de responsabilité là-dedans. J’en tire des leçons». 

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