Guillaume Pley explique la fin du QG : «J’étais bloqué»

Le problème s’est posé sur le rythme de production du QG. «On n’était pas assez flexible, explique Guillaume Pley. C’est à dire que toutes les six semaines, je tournais six émissions en deux jours. Par exemple, Brad Pitt qui passe à Paris dans une avant-première, je ne pouvais pas le recevoir parce que le plateau n’était pas disponible». Bien sûr, le duo essaye parfois d’innover, en organisant par exemple de petits happenings devant le studio. «Ça me donnait hyper envie de tourner des choses à l’extérieur, reconnaît Guillaume Pley. Mais on était toujours très limité. Il fallait des autorisations, etc.». Face à cette problématique, l’animateur choisit d’emprunter une toute nouvelle voie. «Je suivais beaucoup de médias digitaux à l’étranger où il se passait plein de choses. Donc j’ai quitté Webedia au mois de juin. En bons termes, comme avec Jimmy Labeeu. Pour réfléchir à faire notre média digital comme j’aurais aimé suivre».

Un organisme qui lui permet beaucoup plus de liberté. Des interviews de «profils très différents» mais aussi «des reportages complètement fous». «On a suivi la douane de Marseille dans leur plus grosse saisie de coke. Je vous montrerai très bientôt. On a aussi filmé une mine d’uranium au Kazakstan dont vous n’avez sûrement jamais vu les images. On a même retrouvé la guillotine de Louis XVI». En tout cas, «on va y mettre tout notre cœur» conclut Guillaume Pley. Dans le reste de l’actualité, «Snoop Dogg et 50 Cent l’ont partagé» : Monsieur Poulpe revient sur son sketch devenu viral.