KronoMuzik réagit aux remarques racistes après le clip de “WATCH OUT”

Le nouvel EP de KronoMuzik a reçu un accueil mitigé. En plus des critiques négatives, le créateur a été victime de nombreuses remarques racistes.

Il y a quelques jours, KronoMusik dévoilait son EP FREE KRONO. Le beatmaker profitait du premier single de l’opus, “WATCH OUT (Je vais te montrer)” pour dévoiler son visage dans un clip excentrique réalisé par Aubin Grégoire. Celui-ci lui a valu quelques critiques mais également des qualifications racistes, qui sont visiblement récurrentes.

«Par contre vraiment je vais le dire quand même, le nombre de salopes qui m’appellent “tching tchong” ou “chinois” et qui ont une photo de profil manga c’est une dinguerie, frère sois raciste jusqu’au bout lis Astérix», s’en est-il plus ou moins amusé sur Twitter.

À lire aussi : KronoMuzik revient sur le succès de “Time Time” en radio

Par contre vraiment Jvais le dire quand même, le nombre de salope qui m’appelle « tching tchong » ou « chinois » et qui ont une pp manga c’est une dinguerie frère soit raciste jusqu’au bout lit Astérix

— Free Krono 💸🔫💎 (@kronomuzik) August 18, 2023

KronoMuzik : FREE KRONO qualifié de «parodique»

En parallèle, de nombreux internautes n’ont pas été séduits par la proposition musicale de FREE KRONO. Le projet de KronoMuzik se nourrit dans sa totalité par des ambiances RnB américaines inspirées des années 2000 : prods et flows dansants, lyrics egotrip et refrains entêtants.

Pour rappel, FREE KRONO résulte d’un défi de KronoMuzik à lui-même : un mois pour faire un album rap/RnB des années 2000, période et genre particulièrement affectionnés par le vidéaste. Une partie des auditeurs a avancé que l’initiative n’était pas efficace et que le clip de “WATCH OUT” et l’atmosphère générale de l’EP s’apparentaient plus à une parodie du rap des années 2000, à la manière de Fatal Bazooka – qui a récemment fait parler de lui en dévoilant le numéro de téléphone de Gérald Darmanin.

Dans le reste de l’actualité, Le Joueur du Grenier banni de Twitch : «Je n’ai rien à me reprocher».