Vald et Orelsan ont plein d’idées de noms pour leur groupe

Lors de leur voyage à Sofia pour le clip de « Péon », Vald et Orelsan ont émis plein d’idées pour leur groupe. Un running-gag particulièrement inspiré. 

Ils ont instantanément candidaté pour le clip de l’année avec « Péon » publié la semaine passée. Vald et Orelsan ont mis en images leur collaboration à travers un fantastique block-buster grouillant de références. Le tournage du visuel a fait l’objet d’un making-of capturé par Brut dans lequel on découvre les deux équipes des artistes en voyage à Sofia, en Bulgarie. Et on comprend très vite que l’idée d’un projet commun n’ait pas sorti de nulle part dernièrement : il s’agit en effet d’un running-gag qui a visiblement duré tout le long du séjour.

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Vald et Orelsan : une bonne humeur contagieuse

Pour rappel, Vald avait, il y a quelques semaines, émis ouvertement l’idée d’un album commun à Orelsan sur son compte Instagram, après son invitation à Bercy. Des propos évidemment ironiques (sauf si l’auteur de Civilisation est chaud) qui ont ainsi questionné quant au nom de ce groupe. Orelsan avait déjà évoqué un nom en particulier : la Torche et la Batte, que l’on capte après le visionnage du clip. En somme, le duo se heurte à une horde de zombies et tente de les repousser, l’un équipé d’une batte de base-ball, l’autre d’une torche.

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Au cours de la vidéo de Brut, on découvre toute une panoplie d’idées supplémentaires imaginée par le duo. « Les mecs de l’autoroute », d’abord. Un nom proposé par Orelsan sur une idée d’Ablaye, qui se moquait de sa tenue orange, inspirée des prisons américaines, qui rappelait plutôt, selon lui, le personnel autoroutier. Et pour ce qui est du nom de groupe de « rap gothique », Vald a une bonne idée : « Slip not ». «Pas de slip !», dit-il.

Bref, des idées farfelues à l’image d’un tandem composé de deux stars de la scène rap française, comptant parmi les plus gros vendeurs actuels. Une bonne humeur contagieuse qu’ils ont traîné tout au long du tournage, et un running-gag qui, attention, va finir par devenir crédible pour les communautés hyper-actives des deux artistes. Aussi : Jonathan Cohen raconte l’histoire absurde de F*cking Fred avec Orelsan