Suivez-nous

Musique

Freeze Corleone : Shone dément la version de BMG sur le deal à 1 million

Publié

le

Freeze Corleone abandonne la drill sur son prochain album, les internautes réagissent
© @camulojames

Suite à l’enquête sur le contrat à 1,1 million signé pour RIYAD SADIO, Shone, le manager de Freeze Corleone, a formellement démenti la version du label BMG sur Twitter.

«Elle ment pour ne pas se faire allumer. C’est atroce» s’insurge d’abord Shone, le manager de Freeze Corleone, à propos de Dominique Casimir. Celle-ci, l’une des têtes pensantes les plus importantes de BMG, a déclaré pour le New York Times que le label allemand avait entamé un deal à 1,1 million d’euros avec le rappeur pour RIYAD SADIO. Le contrat n’aurait jamais été signé compte tenu des polémiques contractées via certaines paroles cryptiques écrites par l’auteur de LMF, qui lui ont également valu l’annulation de son Olympia à Montréal. Une version que Shone a formellement démenti. «Le contrat a bien été signé»

À lire aussi : Freeze Corleone pourrait être déprogrammé d’un festival pour ses paroles jugées antisémites

Publicité

«Ils voulaient effacer toute trace»

«Nous leur avons laissé plusieurs semaines afin qu’ils soient sûrs de ce qu’ils signent, explique le manager. Ils sont revenus OP. Puis ils auraient reçu un appel obscur, d’un soi-disant journaliste israélien. Il les aurait menacés d’en faire une polémique. À partir de là, BMG s’est “chié dessus”». Selon lui, c’est à partir de là – et non en amont de la signature du contrat – que le label allemand a souhaité que leur logo n’apparaisse pas. «Ils voulaient effacer toute trace».

Les conditions mentionnées par Dominique Casimir pour le NYT n’auraient en fait jamais été évoquées d’après Shone. Entre autres, aucune mention de l’implication de BMG, pas d’apparition de leur logo sur les visuels et aucune photographie lors de la signature. «On a signé dans des conditions standards. Il n’a jamais été question de se cacher, affirme le manager de Freeze Corleone. Si nous n’avons pas rendu la signature publique, c’est parce que c’est notre procédé». Mais le deal aurait bien été conclu, avant que le label se rétracte puis «demande de ne pas divulguer cette collaboration avortée», conclut-il.

Dans le reste de l’actualité, SDM explique la suppression du morceau “Hier encore” des plateformes.

Commentaires

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *