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SEB explique pourquoi ses formats “histoire d’un artiste” ne sont pas monétisés

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SEB explique pourquoi ses formats “histoire d'un artiste” ne sont pas monétisés

SEB a expliqué que son format histoire d’un artiste était démonétisé sur YouTube. Le vidéaste trouve donc son économie chez les sponsors.

Son épisode le plus populaire – à propos de Britney Spears – compte plus de 6,6 millions de vues. Pour défendre sa singularité, la chaîne YouTube de SEB peut compter sur son format “histoire d’un artiste”. Elvis Presley, Mac Miller, Daft Punk… Tous emportent un réel succès dès leur sortie. Pourtant, aucun de ces contenus ne peut être monétisé pour des questions de droits d’auteur. Invité sur France Inter pour parler de son documentaire au Kirghizistan – qui devrait sortir prochainement – SEB est revenu sur le cadre économique lui permettant de toucher des revenus.

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SEB : «YouTube protège les ayants droit»

«Sur le modèle tel qu’il est aujourd’hui, la plateforme (YouTube) protège les ayants droit, explique le créateur de contenu. C’est-à-dire que quand je fais une vidéo sur Elvis, je me dis : super ! Je vais pouvoir mettre toutes les musiques d’Elvis que je veux. Je vais le faire. Par contre, je ne suis pas du tout rémunéré pour ça». En fait, l’argent que génère la vidéo reviendra par la suite aux personnes bénéficiant d’un droit sur l’œuvre de l’artiste concerné. Le lien peut être juridique, fiscal ou encore familial : par exemple, une maison de disque ou un enfant (héritier).

Mais le format “histoire d’un artiste” représente probablement le contenu le plus apprécié produit par SEB. Comment, alors, le vidéaste peut-il se rémunérer ? «Je me suis trouvé une économie avec mes partenaires, mes sponsors» élucide-t-il tout simplement, toujours pour France Inter. Un fonctionnement appliqué par beaucoup d’autres créateurs. Une loi de régulation est d’ailleurs en cours de discussion à ce propos, et une tribune signée par Squeezie, Amixem ou encore Gotaga fait polémique.

Dans le reste de l’actualité, un auteur de LOL défend Paul Mirabel : «Il prend beaucoup trop cher par rapport à sa prestation».

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