Stromae explique comment son nom de scène doit se prononcer

Stromae a épelé son nom d’artiste, sujet à de nombreux débats de prononciation depuis de nombreuses années. 

Tandis qu’il s’apprête à dévoiler son nouvel opus Multitude le 4 mars, Stromae a conclu le débat quant à la prononciation de son nom d’artiste. Pour Brut, l’artiste a en effet précisé que, lui, prononçait son nom « Stromaïe », en faisant ressortir le « i ». Pour autant, il reconnaît que la plupart des gens le nomment « Stroma-é », en accentuant le « e », et il n’est pas spécialement contre cette idée. «Faites comme vous voulez les gars. Chacun le dit à sa façon, il n’y a pas de règle».

Aussi : Orelsan a finalement créé des drapeaux “Civilisation”

@brutofficiel Répondre à @nancysimon23 Brut vous a laissé poser vos questions à @. On prononce Stromaï ou ? Voici sa réponse. #tiktokmusique ♬ son original – Brut.

Stromae, d’abord Opsmaestro

Voilà des années que son nom se heurte à certains soucis de prononciation, qui n’ont jamais dérangé l’artiste, mais qui ont créé quelques situations amusantes. Pour rappel, l’auteur de Racine carrée s’est lancé dans le monde de la musique d’abord via le rap, avec le pseudonyme Opsmaestro. Finalement, trop proche du nom de scène d’un autre artiste, il a abandonné son nom au profit de « Stromae », soit « maestro » en verlan, une anecdote qui explique certainement la confusion.

Aussi : Angèle parle de “Amnésie” de Damso : «Tous les soirs, le public le réclamait»

Toujours chez Brut, Stromae a également confié qu’il n’hésitait pas à appeler Orelsan lorsqu’il bloquait sur certains de ses textes. Il n’a d’ailleurs pas manqué d’éloge pour évoquer le travail de son confrère. ««Il m’a montré la façon dont il écrivait, et franchement, c’est impressionnant. Lui, il va vraiment loin». Avant de reconnaître qu’il n’était pas spécialement fan de l’exercice de l’écriture : «Ce n’est pas très chouette d’écrire. Enfin, pour moi, ce n’est pas vraiment un plaisir. Mais c’est peut-être parce que je me casse trop la tête». 

Aussi : quand Stromae, Angèle et Orelsan comparent leurs processus d’écriture