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La 75e session ouvre les portes de son Dojo pour un documentaire immersif

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La 75e session ouvre les portes de son Dojo pour un documentaire immersif

Pour Radio Nova, « le Dojo » à ouvert ses portes. On y découvre le lieu de création d’un collectif de rappeurs parisiens, la 75e session.

C’est l’histoire d’un groupe de personnes passionnées et motivées par leurs projets. Après plus de 10 ans d’existence, la 75e session a décidé de partager un bout de son histoire. Avec Radio Nova, Yveline Ruaud de l’association Les Gros Sourcils a filmé le quotidien de ce collectif éclectique.

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Réunis dans un lieu appelé le « Dojo », rappeurs, vidéastes, graphistes ou encore photographes travaillent ensemble dans une ambiance familiale. Ils débutent avec le rap, à l’époque où tout se jouait autour de L’Entourage et 1995. Ainsi, Nekfeu, Doum’s, Népal, Georgio ou encore Sopico, ont tous croisés le chemin du Dojo.

En cinq épisodes, Yveline Ruaud nous plonge dans l’histoire de la 75e session et de ces liens forts qui unissent ces membres dans un même lieu de rassemblement.

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Le Dojo, un lieu de rassemblement

C’est la passion qui les a réunis. La passion pour le rap, pour la création. Au centre de ce cocon de créativité, Sheldon. Aussi bien rappeur que producteur, il a fortement contribué à la création du label 75e Session ainsi qu’à la convergence du collectif.

Mais en ayant l’idée d’un lieu de rassemblement, la 75e session ne se doute pas qu’elle va créer un repère pour un grand nombre de jeunes débordant d’ambition et d’envie. Le Dojo est « un lieu fertile pour créer et se rencontrer » où « tu ne viens pas forcément par hasard ». Si la musique rassemble, c’est avant-tout la connexion entre plusieurs personnes qui forgent les liens, comme une famille. Pour Paul, membre du collectif, « il y a quelque chose d’humain qui t’attire au départ ». Cette même idéologie est reprise par Rooster, DJ et producteur : « Socialement, ça regroupe des gens qui viennent de lieux très différents, qui sont culturellement très différents, mais qui sont rassemblés là, par un espèce de truc commun ».

Des différences qui font la force de la 75e Session et qui permettent au collectif de se perpétuer dans le temps, car « Tant qu’on est ensemble, on ne s’arrêtera jamais. »

 

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