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Culture

Amixem parle de l’argent de son entreprise : «Si on ne fait pas attention, on en perd»

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Amixem : la surenchère, «un des gros dangers de YouTube»

Au sein d’un long podcast, Amixem s’est notamment livré sur son rapport à l’argent en tant que youtubeur, mais aussi chef d’entreprise.

Il est l’un des youtubeurs les plus suivis du moment. Avec près de 8 millions d’abonnés, Amixem s’efforce chaque semaine de proposer de nouvelles vidéos, sans s’être jamais caché d’avoir monté une vraie entreprise derrière lui. Un statut qui aura peu à peu modifié son rapport à l’argent. «Je trouve ça plus sain de parler de la réussite financière en parlant de charges qu’en parlant de bénéfices, explique Amixem. Parce que si tu ne mets aucun chiffre en face ça n’a aucun sens».

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À lire aussi : Le Joueur du Grenier réagit à la suppression de la vidéo d’Amixem.

Amixem : «Il n’y a aucune dépense luxurieuse dans l’entreprise»

C’est face à Charles Schiele, pour le cinquième épisode de de Frais-RAW, qu’Amixem s’est ainsi livré en toute transparence sur ce qu’il génère grâce à son entreprise. «En gros, à la fin de l’année, il ne s’est jamais passé aucune année où ce n’est pas bénéficiaire, explique t-il. Donc ça c’est tant mieux. Mais ce que j’essaie de dire à chaque fois que je parle de chiffres, c’est que vraiment – et je pense que les gens n’en ont pas conscience – si je fais pas attention aux charges… Il n’y a aucune dépense luxurieuse dans l’entreprise. Aucune. (…) En gros, ce qu’il faut comprendre c’est que, oui à la fin de l’année je gagne de l’argent, l’entreprise gagne de l’argent, c’est génial. Mais si on ne fait pas attention on en perd».

Ayant désormais des salaires et des charges à régler tous les mois, Amixem explique donc faire plus attention à ses dépenses qu’à une époque pas si lointaine : «Alors qu’à une époque ce n’était pas le cas. C’est sûr que quand t’es tout seul dans ta chambre, ou que t’as un monteur et demi : ça va. Il n’y a pas de problèmes. Si j’avais voulu faire de la maille, je serai streamer». Une responsabilité qui lui pèse aussi créativement : «Même créativement, je ne suis pas libre à 100%, parce que j’ai une entreprise».

Dans le reste de l’actualité, Domingo s’agace des commentaires qui donnent l’Espagne gagnante au Eleven All Stars : «J’ai du mal à capter l’idée».

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