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Booba mis en examen pour harcèlement moral aggravé contre Magali Berdah

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Booba mis en examen pour harcèlement moral aggravé contre Magali Berdah

Booba a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire après plus d’une dizaine de plaintes de Magali Berdah pour cyberharcèlement.

Ce lundi 2 octobre, un juge d’instruction a entendu Booba pour la première fois dans l’affaire Magali Berdah. Le rappeur devait répondre à «des chefs de harcèlement moral commis en ligne (…), menace de mort et recel d’une infraction d’atteinte à l’intimité», a indiqué le parquet de Paris à Mediapart. Celui-ci avait ouvert une information judiciaire pour “cyberharcèlement” en juillet dernier. L’auteur de Trône a finalement été mis en examen pour “harcèlement moral aggravé” et placé sous contrôle judiciaire.

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Magali Berdah : ses filles et son mari menacés de mort

Cette mise en examen fait suite à plus d’une dizaine de plaintes de la part de Magali Berdah. Depuis le début de la bataille entre Booba et ceux qu’il appelle les “influvoleurs”, l’agente d’influenceurs aurait reçu des dizaines de milliers de menaces de mort. La visant elle, mais également ses filles et son mari. Sans compter les messages sexistes, liés à son physique ou usant d’informations personnelles, voire de contenus intimes.

Une violence massive, alimentée par les plusieurs millions de followers de Booba. D’ici fin 2023, 28 personnes feront l’objet d’un jugement devant le tribunal correctionnel de Paris. La plupart pour des faits de “menaces de mort” et “cyberharcèlement aggravé” sur la personne de Magali Berdah. Cette dernière aurait d’ailleurs «supplié» Booba de la laisser tranquille selon ses propres propos sur BFMTV. Le rappeur lui aurait répondu : «Plus tu agonises et plus ça m’excite».

Booba réagit à sa mise en examen

«J’ai pu m’expliquer devant le juge d’instruction, affirme de son côté Booba dans un communiqué publié sur X. Les prétendues menaces de mort ont été écartées. Prétendre le contraire relève de la manipulation. C’est ce que fait depuis le début la plaignante en me ciblant systématiquement pour cacher ses casseroles et ses multiples condamnations». Face à la décision du juge d’instruction, l’auteur de Temps mort affirme donc avoir «l’intention de [s]e défendre et de [s]e battre sur tous les aspects de la procédure».

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